Les maisons des Chevaliers Pariers ne comportaient jamais de murs mitoyens et le Pan du Roi les séparait.
C’est une ruelle large d’une trentaine de centimètres, qui n’avait aucun aspect utilitaire, mais sa valeur symbolique était importante. Elle signifiait, en effet, qu’il n’y aurait jamais de discussion de mitoyenneté et que chacun restait maître chez soi, la ligne de propriété passant entre les maisons.
Aujourd’hui encore, le Pan du Roi sépare des maisons du village, surtout dans les rues principales. Il en existe encore une dizaine. Mais ces maisons n’ont sans doute plus grand-chose à voir avec celles que les Chevaliers Pariers avaient fait bâtir au Moyen-Age.
Les maisons des Chevaliers Pariers ne comportaient jamais de murs mitoyens et le Pan du Roi les séparait.
C’est une ruelle large d’une trentaine de centimètres, qui n’avait aucun aspect utilitaire, mais sa valeur symbolique était importante. Elle signifiait, en effet, qu’il n’y aurait jamais de discussion de mitoyenneté et que chacun restait maître chez soi, la ligne de propriété passant entre les maisons.
Aujourd’hui encore, le Pan du Roi sépare des maisons du village, surtout dans les rues principales. Il en existe encore une dizaine. Mais ces maisons n’ont sans doute plus grand-chose à voir avec celles que les Chevaliers Pariers avaient fait bâtir au Moyen-Age.